Roland Vartogue a écrit :Ton analogie avec le bac me va, dans la mesure où ne pas l'avoir c'est quand même assez frustrant quand on a essayé. Mais la différence majeure c'est que la plupart des gens ne réussissent pas à se faire éditer. Alors le sentiment d'accomplissement n'est certainement pas le même qu'avec le bac.
Justement non, aujourd'hui être publié est à la portée de tout le monde et de n'importe qui, contrairement à être publié dans de bonnes conditions, ce qui est largement plus difficile et doit être loin d'atteindre les 83% de réussite.
Mais là encore, c'est comme le Bac: l'avoir, tout le monde peut y arriver les doigts dans le nez, mais en faire quelque chose de valable, c'est déjà une autre paire de mache.
Quant à l'idée saugrenue de gagner du pognon en écrivant des romans de fantasy (et assimilés), je ne sais pas pourquoi, c'est un truc qui me fait toujours marrer.
A part ça, je suis assez d'accord avec le point de vue de Gaby sur le fantasme de l'objet-livre, de la librairie et tout le toutim. Mais bon, ça ne repose sur rien de très rationnel.