Diagnostict

Avatar de l’utilisateur
Lullaby
Messages : 54
Inscription : 11 Jan 2007, 11:18
Localisation : quelque part dans le vaste univers

Messagepar Lullaby » 13 Oct 2007, 21:42

Courage! Tu es suivie, tu te bats, c'est déjà un grand pas!
Tu dis que tu n'es pas guérie... les dépressions hélas ça ne se soigne pas en un jour (ou six semaines). Cela dit, je ne dit pas ça pour enfoncer le clou mais pour te rassurer si tu t'inquiètes de ne pas en être encore sortie.

En bref, je suis derrière toi!

gros câlinous again! :heart:
Ils ont échoué parce qu'ils n'avaient pas commencé par le rêve (W. Shakespeare)
Avatar: S. Pui Mun Law

Chwip
Historienne
Messages : 2267
Inscription : 17 Avr 2006, 14:04

Messagepar Chwip » 13 Oct 2007, 22:01

Courage Elsie. :heart:

Xss
Profananarteur
Messages : 1757
Inscription : 24 Jan 2005, 17:31

Messagepar Xss » 14 Oct 2007, 01:02

Courage également : vu ce que je lis ça a l'air bien difficile tout ça, mais j'ai l'impression que les choses vont un peu mieux!

Avatar de l’utilisateur
Roanne
Muse corsetée
Messages : 1263
Inscription : 20 Fév 2006, 14:40
Localisation : L'Hermitain
Contact :

Messagepar Roanne » 14 Oct 2007, 09:20

Moi qui m'inquiétais il y a peu sur le forum d'Elsie, je découvre que c'était justifié.
Tu es très courageuse miss et soutenue par tes proches, alors je t'envoie en plus de gros calins virtuels, ne pouvant pas mieux faire.
:heart:

Avatar de l’utilisateur
Luxy
Dame lumière
Messages : 1133
Inscription : 15 Juin 2005, 14:00
Localisation : Région parisienne oO
Contact :

Messagepar Luxy » 14 Oct 2007, 21:32

Oui, bon courage et bonne continuation sur la voie de la guérison.
Tout ça aura été bien difficile, mais maintenant tu t'es prise en main et tu dois en être fière! :P
Donne-nous des nouvelles quand tu pourras.

Avatar de l’utilisateur
Raphaël
Messages : 113
Inscription : 25 Avr 2006, 02:39
Localisation : Laval (53)
Contact :

Messagepar Raphaël » 14 Oct 2007, 23:02

Ce temps passé en famille va t'aider à remonter la pente. C'est un excellent complément au travail que va faire le psy.
Sinon, tu as ce fil, où tu peux compter sur des amis qui t'ont témoigné leur soutien.
Enfin, j'ai une adresse hotmail. Si tu es une habituée d'MSN, n'hésite pas à te servir. Si tu vois que je suis connecté et si ça ne va pas, tu peux démarrer la conversation.

Je ne te cache pas que cette histoire d'antidépresseurs m'inquiète pas mal. Sois très prudente : ces trucs-là peuvent devenir une véritable drogue. Le remède est parfois pire que le mal, dit-on : la dépendance aux antidépresseurs en est une illustration.

Avatar de l’utilisateur
Nynaeve
Fée d'Automne
Messages : 1027
Inscription : 04 Mai 2005, 13:53

Messagepar Nynaeve » 15 Oct 2007, 00:19

Je te souhaite d'aller mieux de tout mon coeur ! :heart:

Bon courage, Elsie ! :heart: :heart: :heart:

Avatar de l’utilisateur
yoghsottoth
Spaghettis
Messages : 788
Inscription : 02 Fév 2006, 15:41
Localisation : bordeaux
Contact :

Messagepar yoghsottoth » 15 Oct 2007, 13:11

courage, et reprend le chemin de tes poinceaux... j'ai une ami qui sort d'hp en ce moment et ce qui la tient, c'est le dessin. :-?
to walk the infernals fields

Avatar de l’utilisateur
Misato
ordre du printemps
Messages : 289
Inscription : 08 Nov 2006, 20:16
Localisation : Paris
Contact :

Messagepar Misato » 16 Oct 2007, 03:48

Bon courage

Et ne t'inquiète pas pour ces histoires de dépendance aux antidépresseurs. Si ton suivi psy te permet de régler tes pb, tu verras qu'on arrête très bien ces médicaments, à condition de le faire correctement, en étant suivie par son médecin.

Une chose après l'autre!

Bises (si tu le permets).
Misato
Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.
[Montesquieu]

Avatar de l’utilisateur
Beltane
Ze Flag-Horn heure
Messages : 591
Inscription : 06 Déc 2006, 12:11
Contact :

Messagepar Beltane » 16 Oct 2007, 09:26

Elsie, je viens de voir dans ton message que tu es du côté de Pontoise. C'est là que j'habite : en face de l'hôpital, en plus. Alors si tu as envie de passer un petit moment avec moi pour discuter et peut-être te changer un peu les idées, n'hésite pas (un mp et je te file mon numéro).

Quand je vois ce qu'on t'a fait subir, ça me fait frémir et ça me rappelle un très mauvais souvenir.

En 1987, alors que j'étais étudiante en année de maîtrise, je me suis trouvée très fatiguée. Longue aménorrhée, mal être, douleurs abdominales. Le généraliste diagnostique d'abord une dépression liée au stress des études, on me fait prendre un neuroleptique qui me déclenche des convulsions. Je téléphone au neuro-psy de ma grand-mère (à 1000 km de là, mais au moins celui-là je savais que c'était un bon), qui m'explique que ma réaction prouve que je n'ai absolument pas besoin de ces neuroleptiques et que je ne suis pas dépressive. Il me conseille d'aller voir un autre généraliste. Je le fais. Ce coup-ci, le généraliste m'envoie à l'hôpital de Neuilly (j'habitais à la limite entre Neuilly et Levallois, à l'époque) pour passer une célioscopie. A l'hôpital, on me garde 5 jours. On me donne des médicaments sans me dire ce que c'est. Le 4ème jour, on ne m'alimente pas de la journée sous prétexte que je vais aller en salle d'opération pour cette fameuse célioscopie, mais on m'oublie. Le 5ème jour, je suis dans un état de grande faiblesse et j'ai des tremblements et des crises de larmes. Ma voisine de chambre, une quinqagénaire, est convaincue que je suis une droguée en état de manque et se montre odieuse envers moi. Je réclame aux infirmières de voir un médecin (depuis mon hospitalisation, je n'en ai encore vu aucun, alors que plusieurs se sont succédés au chevet de ma voisine de chambre). Un médecin finit par venir, très agressif. Je suis en train de pleurer, son attitude n'arrange rien. J'essaie de lui expliquer la sitution, il me foudroie de son regard hautain. Il me demande où j'ai mal, je lui réponds "au ventre". Il me palpe alors... la gorge !!! Puis il me déclare, péremptoire : "Vous n'avez pas de ganglions, vous n'avez donc ni cancer, ni sida, ni tuberculose. Vous n'avez rien. Je vous fait interner d'urgence en psychiatrie."
J'ai refusé tout net, malgré ma faiblesse. J'ai donc signé une décharge et j'ai fui l'hôpital. Le généraliste, horrifié, m'a fait entrer en clinique privée. J'avais encore les médicaments donnés par l'hôpital (je ne les avais pas tous pris) et je les montre aux gens de la clinique, pour découvrir qu'il s'agissait... d'un neuroleptique !!! Ce qui signifie qu'alors que j'étais entrée à l'hôpital avec une lettre de médecin expliquant mes douleurs et demandant un examen précis, on m'avait directement cataloguée malade psy et bourrée d'un médicament inadapté auquel je réagissais très mal !!!

A la clinique, on m'a fait la célioscopie, on a constaté que j'avais des kystes sur les ovaires, on m'a opérée et tout est allé mieux ensuite.

On m'a re-étiquettée malade psy quand j'ai eu des problèmes au genou suite à une entorse mal soignée. Il a fallu une opération chirurgicale, là encore, pour réparer le problème (causé par une plica). Mais la psy qu'on m'avait envoyée consulter (une lacanienne) m'expliquait par a + b que je n'avais rien au genou, que cette douleur qui me contraignait à marcher avec des béquilles était liée à mes problèmes de couple (couple = je+nous donc genou). :roll:

De nouveau étiquettée psy par un généraliste quand j'ai attrapé la toxoplasmose. J'étais épuisée, le généraliste n'a jamais vu que c'était la toxoplasmose. On s'en est rendu compte grâce aux prises de sang qu'on fait quand on suspecte une grossesse. J'avais des prises de sang antérieures prouvant que je n'avais jamais eu ni rubéole ni toxoplasmose. Les prises de sang postérieures prouvaient que j'avais eu la toxoplasmose... pour laquelle je n'ai pas été soignée ni aidée puisqu'on m'a traitée de dépressive, la dépression étant, pour ces médecins, la seule cause à un état de grande fatigue...

Et finalement, après la naissance de ma première fille, à cause de l'accouchement, je suis restée avec un état de fatigue chronique, de douleurs chroniques, avec des pathologies associées etc... et là, alors qu'on voulait déjà m'orienter vers les psys, une fois de plus, ben j'ai eu de la chance : je suis tombée sur un bon rhumatologue qui a découvert que j'avais une fibromyalgie.

Mais c'est une maladie orpheline, peu connue, pas reconnue par l'Etat et la sécurité sociale, et la plupart des généralistes ne savent pas l'identifier, la diagnostiquer ni l' accompagner, si bien qu'en général ils envoient les malades chez les psys...

Or ma fibromyalgie a été déclenchée, je le rappelle, par un accouchement.

Et cette maladie touche 2 % de la population des pays occidentaux (pas de statistiques sur lesautres), et 80 % des malades sont des femmes.

A noter que quand on est fibromyalgique, en France, on ne peut être reconnu adulte handicapé par la Cotorep qu'à condition d'accepter d'être étiquetté malade mental (dépressif, en général). Mais ce n'est absolument pas une dépression ! Même si certains malades peuvent développer une dépression *après* à cause de leur état qu'il ne comprennent pas, ou à cause de l'incompréhension des proches et des pouvoirs publics.

On fait beaucoup trop vite un diagnostic "maladie psy" dans notre pays, Elsie. Mon parcours en témoigne.

Avatar de l’utilisateur
Luxy
Dame lumière
Messages : 1133
Inscription : 15 Juin 2005, 14:00
Localisation : Région parisienne oO
Contact :

Messagepar Luxy » 16 Oct 2007, 09:50

Et bé! :shock:
Ca donne à réfléchir!

Avatar de l’utilisateur
Elsie
Elfe monomaniaque
Messages : 461
Inscription : 13 Avr 2006, 14:57
Localisation : Devant mon écran ! Ai viré le café...
Contact :

Messagepar Elsie » 16 Oct 2007, 14:30

Il ne fais hélas pas de doute pour moi que je suis dépressive...

Par contre, ton récit m'en rappelle d'autres que j'ai entendu de pensionnaire de ma "Maison de repos"...
Image

Avatar de l’utilisateur
Roanne
Muse corsetée
Messages : 1263
Inscription : 20 Fév 2006, 14:40
Localisation : L'Hermitain
Contact :

Messagepar Roanne » 16 Oct 2007, 20:24

Le parcourt de Beltane est quand même assez effrayant !
Moi qui ne suis déjà pas rassurée par le corps médical, voilà qui va drôlement m'aider :lol:

Avatar de l’utilisateur
Aimel
Inquisiteur
Messages : 241
Inscription : 29 Oct 2006, 20:22

Messagepar Aimel » 17 Oct 2007, 18:40

le fils de psy, filleul de psy, neuveu de psy, ami de psy, cousin de psychopathe (bon ok), que je suis peut te dire une chose :

Sans activité physique de ta part, ton psy n'arrivera pas a grand chose pour toi.

Par ailleur, quel genre de psy et où vas-tu? (j'ai mon petit cahier noir des scélerats!)

EDIT: je viens de lire ton réçit Elsie (ce que je n'avais pas fait.
Tu l'as compris, je traine dans le milieu psychotérapeutique et psychiatrique depuis que je suis au berceau (ce qui amenera certains a la conclusion que les fils de cordoniers sont les plus mal chaussé ... mais passons)
Evite les hopitaux.
Ce que je vais te dire ne plait pas a tout le monde mais cela viens de l'expériance d'un psychiatre que je vais cité (qui est un amis et non une personne connue)
"Il règne dans les hopitaux un démon anti-hiumanité, anti-guérison, anti-sujet : le protocole.
Les médecins, a cause de ce protocole, sont bouché a tout commentaire du patiant (notez que le patiant n'est pas un être humain qui souffre. C'est juste un patiant). On règle une maladie de nature psichique, spirituelle et mentale avec ... du chimique. Lequel atteind le corp mais en aucun cas l'esprit. Il l'hinibe, eventuellement, mais ne le soigne en rien.
Ce dont ont besoin les dépressifs a 90%, c'est d'activité physique, d'encouragement et de travail sur soit! Pas de prosac!"

J'avous que je ne le site pas texto ... je préfère rester poli.
Cet homme a démitionné de l'hopitale où il travaillait pour se mettre a son compte.
Il s'est battu des année contre l'hopitale où il travaillait, réclamant les cas les plus graves afin que ses collègues ne les agraves pas. Il a eu la justice (spécialisé) au cul par ce qu'il conseillais a ses patiant de partir en vacance plutôt que de leurs prescrire du prozac ...

.. désolé pour l'ortographe qui pique
C'est un mazo qui dit a un sado:
"fait moi mal!!"
Et le sado de répondre méchament
"non!"

Avatar de l’utilisateur
Luen
Champignon
Messages : 303
Inscription : 27 Sep 2006, 16:48
Localisation : Nya
Contact :

Messagepar Luen » 05 Nov 2007, 13:08

Halala les psys....

J'en vois un en ce moment, ca fait depuis quelques temps désormais...

Bah je vois pas d'amélioration, et je replonge au contraire dans une période de dépression.

Mais bon, je suis un cas à part. Il n'y a eu vraiment qu'une seule personne qui m'a compris réellement, et c'est un ami avec qui je me suis engeulé et à qui je ne parle presque plus.

Enfin bref, les psys marcheront jamais et je le sais bien, je suis dans l'incapacité totale de parler de ce que je ressent tout au fond de moi a quelqu'un comme ça. Je suis plutôt du genre à me faire un masque souriant, de bon élève qui va très bien, qui est un peu perdu plutôt que montrer un type au regard triste qui peut être totalement taré quelques secondes après en ayant des yeux et un sourire de sadique :lol:

Mais je suis un cas à part. Si ça marche pour toi c'est bien, et puis ça va aller mieux. Ma mère aussi a eu une sorte de "baby blues"... Ca fini par passer au bout d'un moment, mais si c'est plus profond, il faut bien se bouger ^^

Bon courage !
Image
Mangez-moi, mangez-moi, mangez-mwaaaaaa

Avatar de l’utilisateur
Misato
ordre du printemps
Messages : 289
Inscription : 08 Nov 2006, 20:16
Localisation : Paris
Contact :

Messagepar Misato » 05 Nov 2007, 13:32

Luen a écrit :Bah je vois pas d'amélioration, et je replonge au contraire dans une période de dépression.


Ça dépend de la méthode de ton psy, mais si tu touches aux vrais problèmes, ceux qui font bien mal, il n'est pas étonnant que ça te remue pendant un temps. C'est peut-être simplement le signe que "ça marche" au contraire.

Courage à tous!
Misato

Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.

[Montesquieu]

Avatar de l’utilisateur
Sand
membre d'honneur
Messages : 983
Inscription : 06 Déc 2005, 16:26
Localisation : Paris
Contact :

Messagepar Sand » 05 Nov 2007, 14:53

Il faut déjà savoir quelle psychothérapie est suivie.

Une psychanalyse par exemple n'a pas vocation à "améliorer" quoi que ce soit, tandis qu'une thérapie comportementale s'axe souvent sur un aspect problématique (comme une phobie par exemple) sans trop s'embarrasser du reste.

Bref, tous les cas sont particuliers, et aucune psychothérapie n'est un remède miracle qui fera aller mieux en 3 séances !

Et de toute façon, tout suivi sérieux devrait commencer par des analyses "bêtement" médicales afin d'écarter en premier lieu les causes possibles purement biologiques (dosage de l'hormone thyroïdienne, par exemple, dont un taux anormal peut causer troubles de l'humeur et dépression).

Avatar de l’utilisateur
Elsie
Elfe monomaniaque
Messages : 461
Inscription : 13 Avr 2006, 14:57
Localisation : Devant mon écran ! Ai viré le café...
Contact :

Messagepar Elsie » 04 Déc 2007, 16:01

Pour le moment, j'ai vu deux fois mon psy qui va me suivre. Certe, il me prescrit mes antidépresseurs, mais durant toute la consultation, je parle. Et quand je suis chez moi, je gamberge. parce que le travail sur soi, quand on a un esprit aussi bordelique que le mien, est tres difficile seule.

Là, depuis quelques temps, je ressens, par moment, les attaques du mal. J'essaie de ne pas tomber dans le piège, parce que c'en est un, et de ne pas me laisser submerger par le flot de ce que je crois être des impossibilités. Dans ces cas là, je m'arrête et je tâche de réfléchir le plus objectivement du monde. Ca ne soulage pas, mais ça évite la chute. Je ne sais pas si je me fais bien comprendre. Mais il faut savoir repérer le mécanisme de la maladie en soi. Sans la supprimer, ça aide à garder un semblant de contrôle, mais c'est impossible si je n'ai pas de médicaments pour calmer au moins quelques uns des symptômes.

Je trouve aussi beaucoup de soulagement dans mon travail, et je me rends compte qu'il est parfois très révélateur.

Image

J'avais mis ce dessin sur mon site et j'avais dit que je ne savais pas le nommer, lui donner un titre...en gros, dire ce que c'était. Pour info, il a été fait au début de mon séjour en maison de repos.

Maintenant je sais que cette chose, c'est ma maladie, telle que je me la suis représentée mentalement. Mais j'étais alors incapable de le savoir. c'est une chose qui gronde, attaque au moment ou l'on ne s'y attends pas, se nourrit de vous sans pour autant être rassasié, vous désespère et vous épuise, un peu comme les fameux "détraqueurs" de ce cher Harry (Je les ai toujours trouvé fascinats...maintenant je sais pourquoi...)

C'est CA une dépression.

En une heure, là, j'ai basculé dans cette prise de conscience à la fois très positive, mais assez douloureuse. Si bien que je sens que je vais me poser, redéfinir mes priorités, me reposer, et surtout ne pas paniquer.
Image

Avatar de l’utilisateur
Misato
ordre du printemps
Messages : 289
Inscription : 08 Nov 2006, 20:16
Localisation : Paris
Contact :

Messagepar Misato » 04 Déc 2007, 16:05

Tu as l'air de bien avancer. J'ai connu ce que tu décris. Courage, on en sort un jour. Je t'envoie plein d'énergie positive. :heart:
Misato

Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.

[Montesquieu]

Avatar de l’utilisateur
Luxy
Dame lumière
Messages : 1133
Inscription : 15 Juin 2005, 14:00
Localisation : Région parisienne oO
Contact :

Messagepar Luxy » 04 Déc 2007, 18:34

Tout pareil ! :P :P :P


Revenir vers « Les pires moments de votre vie »

Qui est en ligne ?

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 4 invités