[2007] Les Perles d'Allaya
Modérateur : Gaby le Magnif...HIC!
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Wow !
Krystal, j'étais déjà curieuse quand tu m'en avais parlé sur Aubagne, mais là je suis carrément impatiente. Ouuuuh là là. ^^
J'attends la fin de l'année pour les intérêts de mon compte en banque, puis je me l'achète. Y a pas moyen !
Krystal, j'étais déjà curieuse quand tu m'en avais parlé sur Aubagne, mais là je suis carrément impatiente. Ouuuuh là là. ^^
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"Sous ce masque, c'est une idée."
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- Gaby le Magnif...HIC!
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Coucou,
Ce que je lis ici est loin de me déplaire, on s'en serait douté.
L'enthousiasme de Tholgren et de Perceron est des plus encourageants. Sand, j'ai hâte de savoir ce que tu en auras pensé au final. Noony, laisse tomber Levi Strauss même si je t'accorde que ses pérégrinations en des lieux lointains ont un petit côté "fantasy".
Ceci dit, ce n'est pas la course, prenez votre temps pour lire les Perles. Ce qui compte pour Krystal, c'est l'achat du bouquin
Ce que je lis ici est loin de me déplaire, on s'en serait douté.
L'enthousiasme de Tholgren et de Perceron est des plus encourageants. Sand, j'ai hâte de savoir ce que tu en auras pensé au final. Noony, laisse tomber Levi Strauss même si je t'accorde que ses pérégrinations en des lieux lointains ont un petit côté "fantasy".
Ceci dit, ce n'est pas la course, prenez votre temps pour lire les Perles. Ce qui compte pour Krystal, c'est l'achat du bouquin
"Ces gens sont comme moi, ils font de la littérature au fur et à mesure."
http://gabriel-feraud.over-blog.com/
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J'ai profité de mon voyage de retour sur Grenoble pour le finir.
Franchement j'ai bien aimé, c'était facile et plaisant à lire. J'ai passé un très bon moment.
Peut être que le début est un peu trop long à se mettre en place (pour moi), mais comme l'écriture est agréable ça passe bien.
Sinon il n'y a pas un problème de mise en page ? Sur le livre que j'ai eu il n'y avait pas toujours le même nombre de lignes d'une page à l'autre.
Franchement j'ai bien aimé, c'était facile et plaisant à lire. J'ai passé un très bon moment.
Peut être que le début est un peu trop long à se mettre en place (pour moi), mais comme l'écriture est agréable ça passe bien.
Sinon il n'y a pas un problème de mise en page ? Sur le livre que j'ai eu il n'y avait pas toujours le même nombre de lignes d'une page à l'autre.
Une chauve-souris, Demoiselle de la nuit, Une chauve-souris, Aimait un parapluie. (Thomas Fersen)
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Ah ? Moi au contraire ça m'a dérangé. Je pensais justement à une coupure dans le récit et après j'étais paumé parce que ce n'était pas le cas. Enfin ça m'a sorti plusieurs fois de ma lecture.
Bien au contraire les veuves et orphelines ne me génent en rien contrairement à ça.
Bien au contraire les veuves et orphelines ne me génent en rien contrairement à ça.
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J'avais pas remarqué non-plus en fait.
Maintenant que je feuillette exprès pour voir les différences, je constate effectivement qu'il y a parfois un léger décallage mais j'aurais pas remarqué ça tout seul.
Maintenant que je feuillette exprès pour voir les différences, je constate effectivement qu'il y a parfois un léger décallage mais j'aurais pas remarqué ça tout seul.
C'est là que j'ai rencontré mon seigneur et maître. Ce n'était pas par hasard, comme ce n'est pas par hasard si je suis le conteur de cette histoire.
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C'est peut-être parce que j'ai lu trop de livres qui mettaient juste un blanc de plusieurs lignes pour imager un saut dans la narration. Bien sûr certain arrivaient en haut et bas de page. Du coup dès que je vois un blanc je pense "saut dans la narration"
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tenez :
http://www.fantastinet.com/details.php?id=1246
par contre, il me faudrait une image ne dépassant pas 15 ko en taille pour la fiche. ( 170 ko comme maintenant, on plante !!)
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- Krystal
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Voici le commentaire paru sur chroniques en imaginaire :
Tumir est un riche royaume du pays du Dashan. Or Mustak Dorayesh, son Radja, n'ignore pas que sa situation est trouble à cet instant : des soupçons pèsent sur la façon dont lui, un mercenaire du désert, est parvenu sur le trône de cette riche province, soit disant le plus légalement du monde. Alors quand le Héros de Bélyotora, l'Honneur du Dashan nommé par le Maharadja en personne, débarque dans son palais, Dorayesh sait quand il faut laisser quelques formalités de côté. Un seul mot de la part de Munde Shayapan, et c'est la perte de tout ce qu'il possède. Qui oserait contredire la parole du Héros, et donc celle du Maharadja ?
Mais heureusement pour le Radja parvenu, Munde Shayapan n'est pas venue en ces murs pour cette raison. La politique l'ennuie au plus profond et lui-même se sent sa vie spoliée par son statut. Héros par ci, Héros par là... Être au coeur de toutes les préoccupations des habitants du Dashan lui pèse sur les épaules. Alors pourquoi ne pas disparaître d'une façon ou d'une autre ? Peut-être un artefact, les perles d'Allaya, pourront accomplir ce miracle ? En effet, ces larmes de la déesse de la Compassion auraient, soit disant, le pouvoir de donner la paix si elles sont aux mains d'une vierge. En échange de ces perles, Munde demande au Radja Dorayesh une vie anonyme mais bien aisante. Marché conclus entre ces deux hommes, mais le Radja est retors, et sans doute cache-t-il beaucoup de chose au Héros, même avec toutes les précautions prises.
Entre tournoi, parades d'éléphants et d'infanterie, tentatives d'assassinat, et une quête que les Dieux auraient du mal à approuver, le lecteur suit le Dharma de son héros légendaire en la personne de Munde Shayapan. Un peu Conan, un peu Champion éternel à la Moorcock, Shayapan est un héros droit et honnête, béni des Dieux, mais dont le destin, appelé ici Dharma, lui pèse. Avec ce livre, Gabriel Féraud nous entraîne dans un univers de fantasy bien loin de l'habituel contrée médiévale à l'occidentale. Ici, nous voilà dans une Inde détournée, où l'on sent des influences du moyen-orient tout comme une référence aux peuplades plus orientales encore. D'une plume exquise, les rivalités politiques font face aux devoirs de justice et aux instincts plus humains. L'on ne s'ennuie donc pas une seconde, tant les pages nous emportent au long des vingt-deux chapitres. La deuxième partie, celle de la quête, paraît plus ordinaire peut-être, mais qu'importe car son dénouement ne l'est pas.
Quoi qu'il arrive, pour un premier roman publié, Féraud fait fort ! Vraisemblablement, ce texte n'est pas le premier qu'il décrit, comme on peut le supposer du titre Dans le silence de Bushira, publiée dans le webzine Solstice n°7 aux éditions Cinquième Saison. Espérons donc que l'auteur nous gratifie sinon d'une suite, au moins d'autres récits qui se déroulent dans cette terre pleine de mystère. Mais j'aurai le loisir de vous reparler de Gabriel Féraud très prochainement dans ma chronique de La Terre, une anthologie des éditions Griffe d'Encre, puisqu'il figure à son sommaire.
Avec Les perles d'Allaya, les éditions Cinquième Saison tiennent là une perle (d'Allaya !) qu'il convient de découvrir au plus vite. Déjà gagnants du prix Merlin en 2006 avec le surprenant roman Le temps de l'Accomplissement de Muriel H. Hessling, premier tome du Sablier de Mû, ce roman pourrait fort bien suivre ce bon exemple. C'est tout le mal que je leur souhaite.
Tumir est un riche royaume du pays du Dashan. Or Mustak Dorayesh, son Radja, n'ignore pas que sa situation est trouble à cet instant : des soupçons pèsent sur la façon dont lui, un mercenaire du désert, est parvenu sur le trône de cette riche province, soit disant le plus légalement du monde. Alors quand le Héros de Bélyotora, l'Honneur du Dashan nommé par le Maharadja en personne, débarque dans son palais, Dorayesh sait quand il faut laisser quelques formalités de côté. Un seul mot de la part de Munde Shayapan, et c'est la perte de tout ce qu'il possède. Qui oserait contredire la parole du Héros, et donc celle du Maharadja ?
Mais heureusement pour le Radja parvenu, Munde Shayapan n'est pas venue en ces murs pour cette raison. La politique l'ennuie au plus profond et lui-même se sent sa vie spoliée par son statut. Héros par ci, Héros par là... Être au coeur de toutes les préoccupations des habitants du Dashan lui pèse sur les épaules. Alors pourquoi ne pas disparaître d'une façon ou d'une autre ? Peut-être un artefact, les perles d'Allaya, pourront accomplir ce miracle ? En effet, ces larmes de la déesse de la Compassion auraient, soit disant, le pouvoir de donner la paix si elles sont aux mains d'une vierge. En échange de ces perles, Munde demande au Radja Dorayesh une vie anonyme mais bien aisante. Marché conclus entre ces deux hommes, mais le Radja est retors, et sans doute cache-t-il beaucoup de chose au Héros, même avec toutes les précautions prises.
Entre tournoi, parades d'éléphants et d'infanterie, tentatives d'assassinat, et une quête que les Dieux auraient du mal à approuver, le lecteur suit le Dharma de son héros légendaire en la personne de Munde Shayapan. Un peu Conan, un peu Champion éternel à la Moorcock, Shayapan est un héros droit et honnête, béni des Dieux, mais dont le destin, appelé ici Dharma, lui pèse. Avec ce livre, Gabriel Féraud nous entraîne dans un univers de fantasy bien loin de l'habituel contrée médiévale à l'occidentale. Ici, nous voilà dans une Inde détournée, où l'on sent des influences du moyen-orient tout comme une référence aux peuplades plus orientales encore. D'une plume exquise, les rivalités politiques font face aux devoirs de justice et aux instincts plus humains. L'on ne s'ennuie donc pas une seconde, tant les pages nous emportent au long des vingt-deux chapitres. La deuxième partie, celle de la quête, paraît plus ordinaire peut-être, mais qu'importe car son dénouement ne l'est pas.
Quoi qu'il arrive, pour un premier roman publié, Féraud fait fort ! Vraisemblablement, ce texte n'est pas le premier qu'il décrit, comme on peut le supposer du titre Dans le silence de Bushira, publiée dans le webzine Solstice n°7 aux éditions Cinquième Saison. Espérons donc que l'auteur nous gratifie sinon d'une suite, au moins d'autres récits qui se déroulent dans cette terre pleine de mystère. Mais j'aurai le loisir de vous reparler de Gabriel Féraud très prochainement dans ma chronique de La Terre, une anthologie des éditions Griffe d'Encre, puisqu'il figure à son sommaire.
Avec Les perles d'Allaya, les éditions Cinquième Saison tiennent là une perle (d'Allaya !) qu'il convient de découvrir au plus vite. Déjà gagnants du prix Merlin en 2006 avec le surprenant roman Le temps de l'Accomplissement de Muriel H. Hessling, premier tome du Sablier de Mû, ce roman pourrait fort bien suivre ce bon exemple. C'est tout le mal que je leur souhaite.
Moi? sadique? peut-être un peu...
- ereneril
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Mais il y est le bémol :
Et des bémols comme ça, je pense que tous les auteurs en rêvent.
Félicitations donc à tout le monde pour le travail accompli. J'imagine que de tels critiques doivent faire chaud au coeur tant de l'auteur que de celles et ceux qui ont oeuvré dans l'ombre (correction, édition, etc.)
La deuxième partie, celle de la quête, paraît plus ordinaire peut-être, mais qu'importe car son dénouement ne l'est pas
Et des bémols comme ça, je pense que tous les auteurs en rêvent.
Félicitations donc à tout le monde pour le travail accompli. J'imagine que de tels critiques doivent faire chaud au coeur tant de l'auteur que de celles et ceux qui ont oeuvré dans l'ombre (correction, édition, etc.)
Les dés ont fini de rouler...
- Sand
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Les chroniques DE l'imaginaire !
http://climaginaire.joueb.com/news/les-perles-d-allaya
C'est quand même assez linéaire, la "surprise" ne m'a pas surprise.
Les descriptions des combats sont formidables (même que je les lis avec plaisir, moi qui saute les passages de combat en général)
http://climaginaire.joueb.com/news/les-perles-d-allaya
Curwen a écrit :Bon, pour l'instant c'est du 100% satisfait apparemment.
Y'en a pas un pour émettre ne serait-ce qu'un tout petit bémol ?
C'est quand même assez linéaire, la "surprise" ne m'a pas surprise.
Les descriptions des combats sont formidables (même que je les lis avec plaisir, moi qui saute les passages de combat en général)
- Gaby le Magnif...HIC!
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ereneril a écrit :Et des bémols comme ça, je pense que tous les auteurs en rêvent.
Il est vrai que cela se supporte très bien
Même Olive a l'air d'apprécier l'histoire, pourvu que ça dure !
Les critiques de l'Orque fol et de Garion, je n'ai rien contre non plus
Ravi que les combats t'aient plu Sand, pour ton bémol à toi, il semblerait que le poète ait vu juste: "la chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres". Tu es donc blasée, du moins en littérature, pour le reste je ne me prononcerai pas
Enfin, concernant les histoires de veuves et d'orphelines de notre velue Chrioptère, c'est typiquement un boulot pour le Héros des Perles d'Allaya, qui d'ailleurs en fait certainement beaucoup, des veuves et des orphelines...
"Ces gens sont comme moi, ils font de la littérature au fur et à mesure."
http://gabriel-feraud.over-blog.com/
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Gaby le Magnif...HIC! a écrit : Enfin, concernant les histoires de veuves et d'orphelines de notre velue Chrioptère, c'est typiquement un boulot pour le Héros des Perles d'Allaya, qui d'ailleurs en fait certainement beaucoup, des veuves et des orphelines...
Dis moi si tu passes vers l'Isére, je viendrais te demander une dédicace.
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