Je dévorais les pièces de Molière à l'âge où mes congénères ne parlaient que scooters et d'atteindre leur but avec un spécimen femelle, j'adorais aussi Maupassant et Prosper Mérimée
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La culture n'est pas exclusive en soi mais diverse, plurielle. L'investissement personnel dans une forme de culture aboutit à un certain cloisonnement, pour des raisons de centres d'intérêt surtout. C'est ce qui fait que les cultures ont de plus en plus tendance à se juxtaposer sans communiquer: par rapport aux années 60 par exemple, il n'y a plus de "culture jeunes" à proprement parler mais une diversité de cultures et de courants souvent imperméables les uns aux autres.
Après, tout est une question de discernement et de bonne mentalité: aussi éloignée de moi que me paraît la culture R'n B, je ne dénierais certainement pas le statut de culture à ce courant car c'est effectivement une culture pour bien des gens. Et l'on peut épiloguer à loisir sur ce qu'est la culture d'élite et la culture populaire, mais personnellement, je ne vois pas en quoi une bonne oeuvre de fantasy serait moins noble qu'un ouvrage plus classique.
Tes collègues qui citent les auteurs dans le texte comme si c'était naturel le font-ils à propos? Parce que si c'est simplement dans le but de se faire mousser, ça n'a pas vraiment d'intérêt. Tu sais, l'idée de la confiture qu'on étale bien 
