Premières phrases...
J'ai tendance à faire comme beaucoup de personnes : je lis le 4ème de couverture. c'est pour moi une promesse que doivent tenir les premiers paragraphes.
Après tout est question de goût. J'ai une préférence pour les phrases percutantes ou intimistes. Un auteur a beaucoup d'information à faire passer dans les premiers paragraphes : temps, lieu, type d'action et l'un des buts de l'histoire. Faire des phrases trop compliquées, peut justement compliquer la lecture...
Une phrase "intimiste" vous plonge dans le point de vue d'un perso. La "percutante" vous plonge dans une action du perso, elle est plus extérieure.
Il y aussi la plongée directe dans un dialogue.
Après c'est personnel, mais je décroche quand une phrase est trop longue: quand je lis, je suis passionnée et je dévore. Donc j'ai horreur de relire deux fois une phrase pour comprendre les subtilités, les nuances... Je sais, je ne suis pas une référence.
Mais le point essentiel, c'est qu'on écrit ce qu'on aime, non ?
Donc j'aime bien commencer comme ça. Je ne dis pas que c'est bon, au contraire...
Une "intimiste" : "Esclave... Oui, je ne suis qu’un esclave, moi que mon passé a rejeté."
(Ca parle de quelqu'un d'amnésique)
Une plus "ouverte" : "- Alors Asura, fit le roi des démons, dois-je te rappeler le Pacte ?"
Bon, ce n'est qu'un point de vue...
Après tout est question de goût. J'ai une préférence pour les phrases percutantes ou intimistes. Un auteur a beaucoup d'information à faire passer dans les premiers paragraphes : temps, lieu, type d'action et l'un des buts de l'histoire. Faire des phrases trop compliquées, peut justement compliquer la lecture...
Une phrase "intimiste" vous plonge dans le point de vue d'un perso. La "percutante" vous plonge dans une action du perso, elle est plus extérieure.
Il y aussi la plongée directe dans un dialogue.
Après c'est personnel, mais je décroche quand une phrase est trop longue: quand je lis, je suis passionnée et je dévore. Donc j'ai horreur de relire deux fois une phrase pour comprendre les subtilités, les nuances... Je sais, je ne suis pas une référence.
Mais le point essentiel, c'est qu'on écrit ce qu'on aime, non ?
Donc j'aime bien commencer comme ça. Je ne dis pas que c'est bon, au contraire...
Une "intimiste" : "Esclave... Oui, je ne suis qu’un esclave, moi que mon passé a rejeté."
(Ca parle de quelqu'un d'amnésique)
Une plus "ouverte" : "- Alors Asura, fit le roi des démons, dois-je te rappeler le Pacte ?"
Bon, ce n'est qu'un point de vue...
- Misato
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Melindra a écrit :quand je lis, je suis passionnée et je dévore.
Pareil.
Je ne vois pas passer les chapitres, par exemple. Combien de fois il m'est arrivé de (me) promettre de "juste finir le chapitre", pour m'apercevoir "un peu" plus tard que j'étais 3 chapitres plus loin?
Melindra a écrit : "- Alors Asura, fit le roi des démons, dois-je te rappeler le Pacte ?"
Yess, j'aime celle-là!
C'est quoi, la suite?
Misato
Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.
[Montesquieu]
Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.
[Montesquieu]
Mdr !! pour finir le livre à 3h du matin, non ??
Pour la suite de la phrase, eh bien, il faudrait que je reprenne cette nouvelle et j'en ai l'intention. (je posterais sur la partie du forum pour avoir un avis.^^)
Comme quoi, c'est la première phrase qui entraîne tout le reste... et c'est important pour un éditeur qui lui, n'a pas de 4ème de couverture pour savor de quoi parle l'histoire.
Pour la suite de la phrase, eh bien, il faudrait que je reprenne cette nouvelle et j'en ai l'intention. (je posterais sur la partie du forum pour avoir un avis.^^)
Comme quoi, c'est la première phrase qui entraîne tout le reste... et c'est important pour un éditeur qui lui, n'a pas de 4ème de couverture pour savor de quoi parle l'histoire.
- GabrielleTrompeLaMort
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Syven a écrit :Ma 1ere phrase pour Au Sortir de l'Ombre:
"Mentez à vos enfants.
Dites-leur que les monstres ne se cachent pas dans l’ombre."
Oh, j'avais pas vu.
(Remonte, petit topic ! Quelle chouette idée, l'inventaire des sujets en annonce, Chwip ! )
"Sous ce masque, c'est une idée."
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- Roland Vartogue
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Enger, il y a deux choses que j'évite par dessus tout quand j'écris l'accroche d'un récit :
- Une phrase météorologique (exemples : "De lourds nuages noirs se massaient au dessus de la ville telle une sombre armée se préparant à l'invasion", "Une aube pâle se levait sur la forêt des trois rivières". Bref, vous avez compris).
- Un personnage qui se réveille.
Moi le début de Syven me fait penser à la réplique de la saga Alien : "Ma maman m'a toujours dit que les monstres n'existaient pas, les vrais monstres... Mais y'en a."
- Une phrase météorologique (exemples : "De lourds nuages noirs se massaient au dessus de la ville telle une sombre armée se préparant à l'invasion", "Une aube pâle se levait sur la forêt des trois rivières". Bref, vous avez compris).
- Un personnage qui se réveille.
Moi le début de Syven me fait penser à la réplique de la saga Alien : "Ma maman m'a toujours dit que les monstres n'existaient pas, les vrais monstres... Mais y'en a."
C'est là que j'ai rencontré mon seigneur et maître. Ce n'était pas par hasard, comme ce n'est pas par hasard si je suis le conteur de cette histoire.
- enger
- Petit troll
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Roland Vartogue a écrit :Enger, il y a deux choses que j'évite par dessus tout quand j'écris l'accroche d'un récit :
- Une phrase météorologique
- Un personnage qui se réveille.
La phrase météorologique, je peux comprendre, la censure sur les personnages qui se réveillent, non.
J'aime bien les personnages qui se réveillent. Vous prennez votre livre, le personnage n'existe pas. Vous l'ouvrez, et il émerge du néant.
Ce qui n'existait pas existe soudain. En même temps que vous lisez, il se réveille et découvre le monde autour de lui.
Vous découvrez un univers en même temps que lui et vous le découvrez lui dans ses gestes les plus quotidiens.
Il n'existait pas et émerge d'un long sommeil. Il a dormi le temps que vous le découvriez.
L'intro du livre est le début d'un long voyage, d'une longue journée.
C'est une petite métaphore trés légère que j'aime bien. Il est certain qu'elle a été souvent utilisée mais comme je le fais à ma manière, je pense que c'est tout autre chose. Elle me permet de présenter mon monde de façon trés progessive et est trés bien intégrée (j'espère) à mon premier chapitre.
De toute façon, tous les genres d'introduction ont déjà été utilisées cent fois.
Celle-ci me plait bien et colle à mon ambiance, donc, je ne me prendrai pas la tête la dessus.
Le truc que je ne supporte pas d'entrée de jeu dans les romans, ou même plus tard, c'est les personnages amnésiques. Si vous prennez la réalité, c'est un truc qui n'existe pratiquement pas. Ouvrez un livre de SF ou de Fantasy et un livre sur trois, voire plus, contient un amnésique. C'est un défi aux probabilité, moi je dis.
Donc, s'il vous plait, arrêtez de foutre des amnésiques de partout dans vos histoires.
- enger
- Petit troll
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Non, pour que ce soit vraiment grave, il faudrait que ce soit aussi un elfe vampire insomniaque.
Là, tu aurais tout bon.
Mais bon, avec la surenchère de clichés on peut arriver à des choses tout à fait extroardinaires.
Mettons qu'il a une épée super méga magique ton gars. Au hasard, l'épée absorbe la vie et l'âme des gens et s'en nourrit. Une grande nouveauté sous le soleil (Tome 3 ADD pour joueurs à la bave au lèvres, ustensiles magiques en tous genres, vous avez appelé l'épée vampirique +10 qui parle et qui chante).
Mettons, qu'aprés le petit déjeuner, ton vampire amnésique, bien réveillé, apprend une grande nouvelle du conteur du coin. Cet homme barbu et plein de surprise est en fait l'enchanteur frelaté du genou tout puissant de cet âge moribond.
Le magicien apprends en pouffant à peine, à notre elfe suceur de sang qu'il doit reconquérir l'orbe Tsouintsouin pour reconquérir le royaume de Tagada afin de sauver les méta univers de bourrelemou.
Là, presque tout est dit.
Enfin, pas tout a fait.
Aprés qu'il aie sauvé les multi plans, sa belle Ophélie se noie sous les branches d'un sycomore. Il arrive trop tard pour la sauver de nains artificiers. Devant leurs assauts sauvages, elle a préféré se suicider. Alors, en proie à une rage Berserk, il tue les vils êtres et fait de la mare une tache de sang.
Sans attendre leurs derniers souffles aquatiques, il se passe logiquement sa lame au travers du corps.
Mais ce n'est pas encore fini.
Son épée, peu avare de rebondissement, lui dit alors:
-Je t'attendais Duschmoll (il s'appelait comme ça, ce n'est pas sa faute), je prends ta vie avec plaisir.
Et, comme l'épée lui prends sa vie et son âme, il découvre qu'il est, en fait, une des multiples incarnation du guerrier universel et se retrouve bien vivant dans la peau de Trakapaff la taupe creuseuse de tunnel polyamoureuse (ça vient d'entrer dans le dictionnaire, c'est officiel).
Les clichés sont nos amis, le tout est de bien les exploiter. Il y en a tout un tas qui ne s'en privent pas.
Là, tu aurais tout bon.
Mais bon, avec la surenchère de clichés on peut arriver à des choses tout à fait extroardinaires.
Mettons qu'il a une épée super méga magique ton gars. Au hasard, l'épée absorbe la vie et l'âme des gens et s'en nourrit. Une grande nouveauté sous le soleil (Tome 3 ADD pour joueurs à la bave au lèvres, ustensiles magiques en tous genres, vous avez appelé l'épée vampirique +10 qui parle et qui chante).
Mettons, qu'aprés le petit déjeuner, ton vampire amnésique, bien réveillé, apprend une grande nouvelle du conteur du coin. Cet homme barbu et plein de surprise est en fait l'enchanteur frelaté du genou tout puissant de cet âge moribond.
Le magicien apprends en pouffant à peine, à notre elfe suceur de sang qu'il doit reconquérir l'orbe Tsouintsouin pour reconquérir le royaume de Tagada afin de sauver les méta univers de bourrelemou.
Là, presque tout est dit.
Enfin, pas tout a fait.
Aprés qu'il aie sauvé les multi plans, sa belle Ophélie se noie sous les branches d'un sycomore. Il arrive trop tard pour la sauver de nains artificiers. Devant leurs assauts sauvages, elle a préféré se suicider. Alors, en proie à une rage Berserk, il tue les vils êtres et fait de la mare une tache de sang.
Sans attendre leurs derniers souffles aquatiques, il se passe logiquement sa lame au travers du corps.
Mais ce n'est pas encore fini.
Son épée, peu avare de rebondissement, lui dit alors:
-Je t'attendais Duschmoll (il s'appelait comme ça, ce n'est pas sa faute), je prends ta vie avec plaisir.
Et, comme l'épée lui prends sa vie et son âme, il découvre qu'il est, en fait, une des multiples incarnation du guerrier universel et se retrouve bien vivant dans la peau de Trakapaff la taupe creuseuse de tunnel polyamoureuse (ça vient d'entrer dans le dictionnaire, c'est officiel).
Les clichés sont nos amis, le tout est de bien les exploiter. Il y en a tout un tas qui ne s'en privent pas.
- enger
- Petit troll
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- Localisation : De derrière sa masse ou objet assimilé.
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La première phrase, en se démultipliant, nous amène bien vite vers des horisons étranges.
Je ne suis pas hors sujet, c'est juste une extrapolation trop brillante pour mon auditoire. Na.
La première phrase souvent dit peu, mais, parfois, elle dit tout. Il arrive qu'en lisant les premiers mots on devine tout le reste, comme une menace latente. C'est à ce moment là que je referme généralement un livre en remerciant le ciel pour ce à quoi je viens d'échapper. Je n'ai aucune patience. Je veux être séduit tout de suite, sans à-coup.
Edit de l'admin : l'autre moitié de ce sujet a été déplacée
Je ne suis pas hors sujet, c'est juste une extrapolation trop brillante pour mon auditoire. Na.
La première phrase souvent dit peu, mais, parfois, elle dit tout. Il arrive qu'en lisant les premiers mots on devine tout le reste, comme une menace latente. C'est à ce moment là que je referme généralement un livre en remerciant le ciel pour ce à quoi je viens d'échapper. Je n'ai aucune patience. Je veux être séduit tout de suite, sans à-coup.
Edit de l'admin : l'autre moitié de ce sujet a été déplacée
- Oliv
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- Genre de livres que vous lisez le plus souvent ? : Autres
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Histoire de revenir dans le droit chemin de ce débat, je reprends une fois de plus Enger pour le contredire - désolé, mon vieux, ça tombe sur toi mais ça aurait pu être n'importe qui d'autre si je m'étais décidé à réapparaître plus tôt:
En même temps, je ne crois pas que les romans que nous lisons et écrivons, et a fortiori les romans des genres de l'imaginaire, aient la prétention de se rapporter à des probabilités proches de celles de la réalité. Je veux dire, on ne va pas instaurer des quotas: s'il y a, mettons, 0,1% de cas d'amnésie parmi la population, est-ce qu'il doit y avoir 0,1% de romans traitant d'un personnage amnésique? Non, ce serait absurde.
Un roman de fantasy, de SF ou de fantastique n'a-t-il pas pour vocation de présenter une situation sortant de l'ordinaire, par exemple à raconter les aventures d'un jeune homme amnésique se rendant compte qu'il est l'héritier du trône de l'empire - situation qui, dans la vie réelle, se produit bien moins souvent que sur les étagères de nos librairies, du moins me semble-t-il - plutôt que de narrer sur 500 pages la vie quotidienne d'un expert-comptable de Vierzon dont la seule aventure notable sera de devoir affronter les services financiers de la CoPeMa au sujet de l'octroi des tickets-restaurant - et Dieu sait que la CoPeMa de Vierzon se fout du monde avec ces fichus tickets-resto, c'est un vrai scandale, n'est-ce pas ?
Ce que je veux dire, c'est que les romans de fantasy, de SF et de fantastique présentent forcément des situations qui n'ont que peu de probabilités de se réaliser dans la vraie vie. Je sais, dit de cette manière ça paraît évident, et pourtant personne n'a réagi au post d'Enger alors que c'est ce qu'il semblait dénoncer.
Bref, tout ça pour dire qu'il m'arrive de commencer un roman ou une nouvelle par une phrase météorologique, et ça ne me gêne pas le moins du monde car je sais que ça ne préjuge absolument pas de la suite de l'oeuvre.
[EDIT de moi-même après relecture: Pffff, depuis le temps j'avais oublié à quel point les interminables posts d'Oliv étaient chiants...]
Enger a écrit :Le truc que je ne supporte pas d'entrée de jeu dans les romans, ou même plus tard, c'est les personnages amnésiques. Si vous prennez la réalité, c'est un truc qui n'existe pratiquement pas. Ouvrez un livre de SF ou de Fantasy et un livre sur trois, voire plus, contient un amnésique. C'est un défi aux probabilité, moi je dis.
En même temps, je ne crois pas que les romans que nous lisons et écrivons, et a fortiori les romans des genres de l'imaginaire, aient la prétention de se rapporter à des probabilités proches de celles de la réalité. Je veux dire, on ne va pas instaurer des quotas: s'il y a, mettons, 0,1% de cas d'amnésie parmi la population, est-ce qu'il doit y avoir 0,1% de romans traitant d'un personnage amnésique? Non, ce serait absurde.
Un roman de fantasy, de SF ou de fantastique n'a-t-il pas pour vocation de présenter une situation sortant de l'ordinaire, par exemple à raconter les aventures d'un jeune homme amnésique se rendant compte qu'il est l'héritier du trône de l'empire - situation qui, dans la vie réelle, se produit bien moins souvent que sur les étagères de nos librairies, du moins me semble-t-il - plutôt que de narrer sur 500 pages la vie quotidienne d'un expert-comptable de Vierzon dont la seule aventure notable sera de devoir affronter les services financiers de la CoPeMa au sujet de l'octroi des tickets-restaurant - et Dieu sait que la CoPeMa de Vierzon se fout du monde avec ces fichus tickets-resto, c'est un vrai scandale, n'est-ce pas ?
Ce que je veux dire, c'est que les romans de fantasy, de SF et de fantastique présentent forcément des situations qui n'ont que peu de probabilités de se réaliser dans la vraie vie. Je sais, dit de cette manière ça paraît évident, et pourtant personne n'a réagi au post d'Enger alors que c'est ce qu'il semblait dénoncer.
Bref, tout ça pour dire qu'il m'arrive de commencer un roman ou une nouvelle par une phrase météorologique, et ça ne me gêne pas le moins du monde car je sais que ça ne préjuge absolument pas de la suite de l'oeuvre.
[EDIT de moi-même après relecture: Pffff, depuis le temps j'avais oublié à quel point les interminables posts d'Oliv étaient chiants...]
À l'Affreux Oliv (Mars 2005-Février 2010), la Patrie pas reconnaissante.
Si vous me cherchez, je ne suis plus ici.
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- Misato
- ordre du printemps
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Oliv a écrit :[…]plutôt que de narrer sur 500 pages la vie quotidienne d'un expert-comptable de Vierzon dont la seule aventure notable sera de devoir affronter les services financiers de la CoPeMa au sujet de l'octroi des tickets-restaurant
Ben ça dépend: la CoPeMa, c'est pas un repaire d'Orcs? Et ton comptable, il a combien en compétence magique? (La compta, c'est comme l'informatique: je ne vois pas comment ça peut marcher sans une bonne dose de vaudou dans l'histoire…)
Tout ça pour dire: le début d'une histoire, c'est important, mais ça ne se limite pas à LA 1ère phrase. (Voilà, ça c'était mon talisman anti-censure, c'est bon, c'est fait.)
Ok, je
Misato
Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.
[Montesquieu]
Une heure de lecture est le souverain remède contre les dégoûts de la vie.
[Montesquieu]
Moi aussi j'apprécie.
Sinon bah... mes amnésiques se portent bien merci.
Pour rester dans le sujet, réaction à la première phrase de Louve.
"Je posais" ou "je posai" ? Action courte ou durable ?Spontanément j'aurais mis le passé simple mais cela dépend bien sûr de ton contexte.
Ma dernière première phrase est parfaitement bateau
La cité était en feu.
Sinon bah... mes amnésiques se portent bien merci.
Pour rester dans le sujet, réaction à la première phrase de Louve.
"Je posais" ou "je posai" ? Action courte ou durable ?Spontanément j'aurais mis le passé simple mais cela dépend bien sûr de ton contexte.
Ma dernière première phrase est parfaitement bateau
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