Vous serez publié ? Vous êtes publié ?

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GabrielleTrompeLaMort
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Vous serez publié ? Vous êtes publié ?

Messagepar GabrielleTrompeLaMort » 05 Juin 2005, 19:24

Bon, voilà un débat qui a déjà fait coulé beaucoup d'encre et épuisé beaucoup de mains sur les claviers d'ordinateurs mais je ne peux m'empêcher de le mettre ici.

Vos chances d'être publié, vous les évaluer à combien ? à quel âge pensez-vous ête publié si vous vous dites que vous avez une chance ? écrivez-vous pour être publié ou tout d'abord pour le plaisir (soyez fran sur cette question svp.) ?

Vouala ^^
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oberst
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Messagepar oberst » 05 Juin 2005, 19:28

En ce qui me concerne je n'écris pas pour être publié, mais uniquement pour le plaisir et pour les faire lire à mes amis(on s'échange des nouvelles)
Donc l'édition, j'y pense pas beaucoup...
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Messagepar lord panda » 05 Juin 2005, 19:41

Alors, moi, j'écris pour la fantasy. Mais comme je sais pas quoi faire de ma vie, écrivain, ça me dirait bien. Malheureusement, mes chances d'être publié sont très minces. Mais qui ne tente rien n'a rien. Du coup, j'essaye.
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Messagepar Oliv » 05 Juin 2005, 20:36

Bonnes questions Gaby! Je vais donc m'attacher à y répondre:

Mes chances d'être publié? Je les évalue grosso-modo à 100%
Je vous vois venir: "Oh, l'aut', comment il s'y croit trop!"... C'est pourtant un fait: je serai publé, je n'ai pas dit comment, quand, pourquoi, mais je le serai, point barre. D'ailleurs, s'il y en a parmi vous qui ne sont pas persuadés d'être un jour publiés, c'est qu'ils ne sont pas prêts à l'être, c'est tout.

A quel âge? Vers 25 ans, ça me parait bien. Imaginer être publié avant cet âge, pour n'importe qui, me semble assez illusoire - je ne dis pas que ça n'existe pas, mais un tel cas de figure reste assez rare, pour un tas de raisons.

Ecrire pour être publié ou pour le plaisir? Ecrire est d'abord un plaisir (je dirais même "un besoin"), et je pense (j'espère) que celui qui n'écrit que pour la gloriole ne fera pas long feu. Après, quand on pense avoir atteint un certain niveau, quand on est fier de ce que l'on a écrit et que l'on a la prétention de croire que l'on pourrait partager cela avec le plus grand nombre, alors on peut penser publication.

D'autres questions?
Dernière édition par Oliv le 05 Juin 2005, 20:37, édité 1 fois.
À l'Affreux Oliv (Mars 2005-Février 2010), la Patrie pas reconnaissante.

Si vous me cherchez, je ne suis plus ici.

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Messagepar Blackwatch » 05 Juin 2005, 20:37

Les chances d'être publiée?

- Aucune idée! Sans doute bien minces quand on voit les stats , mais ca ne m'empêchera pas d'essayer!

- A quel âge?

Faudrait déjà que j'écrive un roman.. :wink:

- J'écris d'abord pour le plaisir de l'écriture en soi, mais j'avoue que j'aimerais beaucoup voir mon nom sur une couverture, c'est certain!

- Et tes réponses, Miss? :wink:
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Messagepar Blackwatch » 05 Juin 2005, 20:42

Oublié de préciser une chose: l'auto-édition ou l'édition à compte d'auteur, non merci! Ca peut sembler bete à certaines personnes, mais c'est ainsi!

Payer pour être édité ..non merci!
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GabrielleTrompeLaMort
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Messagepar GabrielleTrompeLaMort » 05 Juin 2005, 20:43

Vos chances d'être publié, vous les évaluer à combien ?

environ 50 %. Pourquoi ? Parce que je suis déterminée : 50% dépendent de l'éditeur et 50 autres % de moi-même : de la capacité que j'ai à écrire, de ma détermination et de mon entêtement. Vu que je suis têtue comme une mûle et que je ne lâcherai jamais le morceau... :roll: :lol:

à quel âge pensez-vous ête publié si vous vous dites que vous avez une chance ?


si l'on publie un jour le roman que j'écrie actuellement, vers 20 ans. Si je doit attendre une prochaine fois (ce qui me paraît plutôt le cas) et bien vers 30 ans. ne me demandez pas pourquoi, c'est juste ce que je m'imagine lol !

écrivez-vous pour être publié ou tout d'abord pour le plaisir


J'écris pour le plaisir ! Mais je ne cache pas que, quand j'ai commencé : c'était pour voir mon nom sur une couveture, je l'avoue sans honte. Après, j'ai trouvé le plaisir de l'écriture et je suis malheureusement retombée dans : 'je suis nulle j'y ariverai jamais on me publira pas, faut que j'écrive ce que les éditeurs veulent lire'. Heureusement, je suis sortie de cette très mauvaise expérience à temps et me voilà : j'écris pour épancher mes sentiments, un vrai dévsersoir en soi, quoique j'écrive. je peux verser ma peine dans un texte super con plein de blagues. Mais plus pour être éditée ;)

Voilà, puisqu'on voulait mes propres réponses !

;)
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Re: Optimisme, réalisme ou pessimisme ?

Messagepar eLiz » 05 Juin 2005, 21:06

Vos chances d'être publié, vous les évaluer à combien ?

Alors là ! Hum. Alors que je réfléchisse.

- j'ai disons 95 % de chances de finir mon projet actuellement, et ce taux peut être généralisé à toute oeuvre sérieuse que j'entreprends qui est portée par une idée qui me paraît vraiment intéressante à développer, et qui surtout a une fin que je connais plus ou moins à l'avance.
- je crois qu'il y a 50 % de chances que je plaise à un éditeur. Les points de mon côté compensent les points contre moi. Donc... quitte ou double.

Ce qui ferait 72,5 % de chances compte tenu de ces deux facteurs (et oui c'est précis ! :lol:)

Mais... franchement, avec le temps, le 100 % devrait être approchable. Vu l'état des publications actuelles, où l'on voit le pire comme le meilleur... il me semble que je pourrais faire partie de l'une de ces deux catégories :P.

à quel âge pensez-vous ête publié si vous vous dites que vous avez une chance ?

Alors, si je conclue mon premier projet comme je veux, il devrait être prêt dans un an ou deux. J'aurais donc 20 ans à peu près. Après, si on compte tout le tralala qui suivrait l'envoi... Un an ou deux. Donc si vraiment, dans l'idéal, tout se passe bien, à 22 ans je verrai mon nom sur une couverture.

Mais je ne m'illusionne pas. Cela relèverait de l'exploit ou d'une chance incroyable si ça se passe comme ça (et je ne compte pas par ailleurs mes autres projets professionnels, donc ça peut allonger le délai). Mais j'aimerai ne pas avoir à attendre trop trop longtemps si je puis être publiée un jour. Je ne suis pas du genre à rechercher la reconnaissance post-mortem :P. Ce qui serait bien c'est que je puisse être publiée avant que mes enfants ne soient trop vieux, qu'ils puissent me lire donc dans leur première décennie, éventuellement, ce qui laisse de la marge.

écrivez-vous pour être publié ou tout d'abord pour le plaisir ?

Au tout début le plaisir unique comptait. Je ne pensais pas une seule seconde à être publiée au collège, mais j'adorais ça écrire, c'était un besoin presque viscéral - ça l'est toujours - un formidable moyen de "crier en silence", comme je disais déjà à l'époque. Peu à peu mon désir d'être reconnue s'est développé. Si bien qu'aujourd'hui ce désir est bien ancré dans mon esprit, mais pas déterminant. Le besoin viscéral prime toujours sur le reste. Et la reconnaissance peut, finalement, très bien passer par l'estime de ses proches, des gens de valeur, et c'est même plus de la reconnaissance que d'être édité pour de mauvaises raisons. Donc... non, je n'écris pas pour être publiée. J'écris pour une somme de raisons, dont celle d'être reconnue, ce qui est sensiblement différent, vu ce que je viens de dire. Et le plaisir, évidemment qu'il est là, mais c'est plus fort que ça je crois. Parce qu'il m'est parfois douloureux de coucher des mots sur le papier, mais je le fais quand même parce que j'en ai besoin. Je n'y prends pas du "plaisir" au sens propre, je me libère. Mais en général je prends mon pied quand même :P.
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Messagepar Gyl » 05 Juin 2005, 21:21

Etre franc est une attitude que très peu de personnes auront… Ce n’est bien sûr que mon humble avis…

Lorsque l’on demande aux amateurs la raison pour laquelle ils ont commencé à écrire, on apprend souvent que cela provient des sentiments qu’ils ont ressentis à la vue d’un film magnifique au scénario remarquable ou au livre qu’il vienne d’achever dont l’histoire les a transportés dans un autre monde et où leur cœur s’est affolé jusqu’à la dernière ligne. Un réel sentiment de béatitude…

Il n’y a rien de mal à dire – et je le dis volontiers ici – que chacun d’entre nous ait envie de faire découvrir ces mêmes sensations à des centaines d’inconnus. Nous ne sommes peut-être pas connus et ne serons peut-être jamais publiés, mais cela ne veut pas dire que nos écrits ne valent rien. Il n’y a aucune honte à dire que nos histoires, sans qu’elles vaillent le mythique Seigneur des Anneaux, ne soient que des torchons dont personne ne veut et qui ne déclencheront chez les autres aucun sentiment. Nous sommes tous capables avec nos propres expériences de retranscrire des moments de joie, de malheur, de bonne humeur. Nous avons tous connus la trahison, l’amour réciproque ou égoïste.

Même si nos styles sont différents, cela ne signifie pas qu’untel a plus de chance d’être publié que son voisin. Nous essayons tous de nous perfectionner dans notre « art ». Certains passent par des nouvelles, d’autres des contes, et d’autres encore s’acharnent à finir un manuscrit de plusieurs centaines de pages. Si toutes ces heures de travail, le soir ou durant nos vacances, ne servent qu’à assouvir un plaisir purement égoïste et qui au final sera enfermé à double tour dans un tiroir, je n’en vois pas l’intérêt. Nous rêvons tous d’avoir un jour dans notre bibliothèque notre livre qui nous a coûté tant d’années. Certains d’entre nous ont même déjà choisi leur pseudonyme…

Je suis certaine que parmi vous, beaucoup se sont dit que leur création était une petite merveille. Et c’est bien normal. Si en plus vos amis ou parents vous confirment qu’il y a ce petit quelque chose qui - même s’il est à retravailler – vous fait aussitôt songer au fait que vous avez vous aussi votre chance, alors ne baisser pas les bras et foncer. Bien que les maisons d’édition aient leurs petits chouchous cela ne veut pas dire qu’elles vous claqueront quand même la porte au nez si votre manuscrit vaut effectivement quelque chose.

Je ne suis pas naïve et on me dit souvent que je suis trop terre à terre. Certes, je veux bien le croire. J’ai énormément de progrès à faire que ce soit au niveau syntaxique ou grammatical. Je ne prétends pas – Oh que non ! – qu’un jour je ferais partie de la grande famille des écrivains, mais ce serait me voiler la face que de dire que tous mes efforts, je les fais uniquement pour moi et non pas pour avoir un minimum de reconnaissance. On rêve tous plus ou moins d’entendre des éloges, de se faire complimenter, alors au diable la modestie et clamons haut et fort que la publication est le résultat et le cadeau de toutes ces années de travail, de palpitations cardiaques, de fainéantise et de culpabilité. Pourquoi nous donnerions-nous tout ce mal si cela n’avait pas pour but – pas spécialement de se faire connaître – mais de partager avec un public large ce qui trotte dans nos têtes…

Pour en venir à mon cas personnel. Je pense avoir des chances pour la publication. J’ai travaillé mon style, pris de l’assurance et durant presque deux et demi j’ai travaillé sur une histoire que je juge satisfaisante et qui me plaît énormément. Rassurez-vous je ne suis pas en train de décoller de ma chaise à cause de mes chevilles, non non ! Je veux être sincère c’est tout.

A quel âge ? Et pourquoi pas maintenant ? Je vais sur mes 23 ans le mois prochain, je trouve que c’est un bon âge…

(Gyl se relit et ne peut s’empêcher de songer qu’on va encore lui sauter dessus et analyser sa réponse… :lol: Bon tant pis je prends sur moi. :oops: )

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Messagepar Gyl » 05 Juin 2005, 21:46

Oliv a écrit :Mes chances d'être publié? Je les évalue grosso-modo à 100%
Je vous vois venir: "Oh, l'aut', comment il s'y croit trop!"... C'est pourtant un fait: je serai publé, je n'ai pas dit comment, quand, pourquoi, mais je le serai, point barre. D'ailleurs, s'il y en a parmi vous qui ne sont pas persuadés d'être un jour publiés, c'est qu'ils ne sont pas prêts à l'être, c'est tout.


Si tu crois en toi, alors y'a aucune raison que tu n'y arrives pas. :cool: D'ailleurs à ce propos, des nouvelles de Nesti? :wink:

Oliv a écrit :A quel âge? Vers 25 ans, ça me parait bien. Imaginer être publié avant cet âge, pour n'importe qui, me semble assez illusoire - je ne dis pas que ça n'existe pas, mais un tel cas de figure reste assez rare, pour un tas de raisons.


Hum... Moi, j'ai dû mal à y croire quand les auteurs sont mineurs (et là encore tout dépend des personnalités :wink: ), mais en règle général cela se vérifie. Il y a une certaine immaturité qui se retrouvent dans les écrits... et pas mal de fautes d'orthographes et de grammaire qui devraient être évitées...

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Messagepar eLiz » 05 Juin 2005, 21:49

Hé non Gyl ! Si t'as lu ma réponse je partage en fait ton point de vue ! Cette soif de reconnaissance. Créer une oeuvre c'est espérer être accepté, compris, reconnu, estimé. Partir en quête d'un respect, d'une entente, d'une compréhension que l'on ne connaît pas peut-être au quotidien. Et le meilleur biais reste la publication.

Et encore heureux que tu sois satisfaite de ton histoire ! Sinon, ce serait terrible, de devoir travailler sur un projet que l'on finirait par détester...ça arrive et je trouve ça assez horrible... Evidemment que l'on croit à ce que l'on écrit, sinon je ne vois pas pourquoi on continuerait d'écrire... Il y a bien des phases de doute, mais toujours cet espoir et cette idée qui nous tient à coeur, et qui gomme tout le reste, toutes les angoisses... Si l'on ne jugeait pas, quelque part au fond de soi, que l'histoire méritait d'être écrite et qu'elle nous transporte à un point qu'on veut la faire partager aux autres, on ne l'écrirait pas.
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Messagepar Gyl » 05 Juin 2005, 21:52

En fait Elyse j'ai écrit ce long monologue lorsqu'il n'y avait pas toutes vos réponses, le temps que je fasses mes petits trucs à côté pas mal de monde avait répondu! :wink:

Et je suis bien contente de savoir que les gens sont honnêtes. J'ai lu toutes vos réponses et cela me réconforte. :wink:

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Messagepar GabrielleTrompeLaMort » 05 Juin 2005, 21:56

Gyl, c'est bien rare mais : je suis tout à fait d'accord avec toi !

Et élise aussi : c'est bien horrible de ne pas aimer ce que l'on écrit. Je l'ai vécu avec un manuscrit, il y a pas si longtemps que ça. Je n'ai toujours pas osé dire à une amie à moi qui l'adorait que je me suis dégoûtée de l'histoire tellement j'avais bossé dessus.

C'est ce manuscrit là que j'ai écrit de la manière 'à être publiée' et je l'ai franchement regrétté surtout quand je me suis aperçue que c'était à cause de ça que j'ai commencé à la haîr, lui et le monde qu'il contait... :cry: :cry:
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Messagepar Blackwatch » 05 Juin 2005, 22:03

GabrielleTrompeLaMort a écrit :Et élise aussi : c'est bien horrible de ne pas aimer ce que l'on écrit. Je l'ai vécu avec un manuscrit, il y a pas si longtemps que ça. Je n'ai toujours pas osé dire à une amie à moi qui l'adorait que je me suis dégoûtée de l'histoire tellement j'avais bossé dessus.

C'est ce manuscrit là que j'ai écrit de la manière 'à être publiée' et je l'ai franchement regrétté surtout quand je me suis aperçue que c'était à cause de ça que j'ai commencé à la haîr, lui et le monde qu'il contait... :cry: :cry:


en effet...pas très top!

Sinon j'approuve le réalisme et la détermination de Gyl! :P
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Messagepar eLiz » 05 Juin 2005, 22:11

Gyl : D'accord ! ;) En effet ces réponses sont réconfortantes.

Surtout que je ne supporte pas, plus que tout, ceux qui se fustigent pour récolter des éloges.

Exemple : untel dit "bouuuh j'écris mal mon manu est nuuul j'arriverais jamais à rien" pour que l'autre réponde par gentillesse "mais nooon c'est génial ce que tu faaais"

Grrrmblbl j'ai toujours envie de tarter ce genre de personnes :twisted: mdr

(bien sûr on a tous besoin de réconfort mais j'ai connu des gens qui vraiment étaient des mégalomanes de première déguisés en pessimistes notoires... -_-")


Gabrielle : Arg :-? pas cool du tout ! Peut-être que dans quelques années, tu regarderas ton écrit sous un autre angle, tu pourras même essayer d'en tirer une oeuvre totalement différente...? Le recyclage c'est toujours possible ! ;)
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Messagepar Gyl » 05 Juin 2005, 22:30

Elise.T.Myron a écrit :Exemple : untel dit "bouuuh j'écris mal mon manu est nuuul j'arriverais jamais à rien" pour que l'autre réponde par gentillesse "mais nooon c'est génial ce que tu faaais"

Grrrmblbl j'ai toujours envie de tarter ce genre de personnes :twisted: mdr

(bien sûr on a tous besoin de réconfort mais j'ai connu des gens qui vraiment étaient des mégalomanes de première déguisés en pessimistes notoires... -_-")


Tu as raison! Moi aussi je déteste ce genre de personne! Je suis écoeurée par ces comportements... surtout qu'il y a de vraies personnes pour lesquelles un encouragement fait des miracles. Je pense particulière à ma puce. ( :wink: )

Dans mes temps libres, je lui corrige ses écrits. Elle n'a absolument pas confiance en elle et c'est regrettable car depuis ses débuts elle a fait des progrès impressionnants... Je le lui dis souvent, mais elle n'y peut rien c'est plus fort qu'elle. Avec le temps, elle prend peu à peu de l'assurance et ses écrits s'en ressentent. J'avoue être très fière :cool:

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Messagepar lapin blanc » 05 Juin 2005, 22:57

j'ai lu en diagonale les différents posts et je ne reviendrai pas dessus.
Je vous livre ici pourquoi j'écris:

d'abord on m'a toujours reconnu une certaine aisance et pas mal d'imagination. De plus j'aime celà, mais ce que j'adore le plus c'est que les autres aiment mes écrits et me le font savoir !

cela ne fait pas encore un an que j'écris réellement et
de façon régulière. Je me concentre pour le moment sur des nouvelles afin de m'améliorer et de me faire connaitre. Une fois ces deux points atteints je me lancerai dans un projet de manuscrit avec le ferme espoir d'être publié. Car mon but est de devenir écrivain, peu importe le temps que celà me prendra mais j'y arriverai ! :albino:
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Messagepar Hohersein » 05 Juin 2005, 23:18

:cool:

Bon, ben moi j'écris pour me faire plaisir ( oui je sais c'est une peu dingue ca :wink: ). Mais attention, je crois que les meilleurs romans sont écris par des gens qui se sont fait plaisir...

J'espére être publié mais alors celui qui donnes des stats, il est vraiment fortiche. Comment peut on s'auto juger ??? je cherche, je vois pas...

Si je suis optimiste, je dirais 100% et si je suis pessimiste et ben 0% donc 50 % :lol: c'est la moyenne...
Mais en face, faut un editeur qui prennent des livres d'auteurs inconnus...Une dizaine en france à tout cassé...
Donc grosso modo 20 livres par an d'auteur comme moi...pour 200 livres que je jugerai de ma qualité au moins ( c'est un jugement au pif sur ce qu'a recu Brag, stat de 2004 ).
donc mes 50% deviennent 5%....ce qui me parrais beaucoup plus raisonnable...

Ca depand quand même des editeurs, de son style que l'on a du mal à evaluer vu que c'est le sien, de son histoire ( difficile aussi, car si on la écrite, c'est qu'on la trouvé interessante, sinon j'vois pas scratch ), bref d'un tas de facteur qui font que vous, vous pouvez penser que votre bouquin et super et le voisin le trouvera pas terrible. L'esprit humain est tellement complexe...

L'age, ben j'ai déjà 38 ans...et oui...donc avant 75 ans si je vie jusque la :twisted: , ca me laisse une sacrée marge tout de même contrairement à ceux qui veulent publier dans les deux trois années à venir :lol: :lol:

Pour l'edition...de toute façon, un jour si je n'arrive pas à me faire éditer, je passerai alors par le net...gratuit ( en fait dans deux ans; lorsque j'aurai terminé mon troisième bouquin de ma trilogie, je ferais le point ). Je vous l'avais dit que c'était une passion...Et puis, si vous éditez un ou deux bouquins sur le net gratuitement, c'est un trés bon moyen de vous faire connaitre ( surtout vous les jeunes qui avant 75 ans avait le temps :lol: )

Phil,
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Messagepar Blackwatch » 06 Juin 2005, 09:38

Boh je suis pas trop d'accord avec le fait de se faire publier sur le net...à moins qu'un éditeur soit derrière toi (voir le projet GeMs dans la partie fantasy) Là ca change la donne! Mais publier sur le net...à moins que tu ne deviennes super connu, mais ca m'étonnerait que cela te donne droit à une reconnaissance qui pourrait être favorable aux éditeurs. n'importe qui a le droit de se faire publier sur le net. Ca n'est pas pour autant un gage de qualité (et je parle en général).
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Messagepar MAF » 06 Juin 2005, 10:00

Eh bien, un peu comme tout le monde, j'ecris pour le plaisir. Mais moi ça m'est venu d'une façon bizarre. Je ne sais pas si beaucoup sont dans ce cas ici mais je suis issu d'une filière purement scientifique et donc rien ne me destinait à l'écriture, surtout que j'ai commencé à réellement m'intéressé à la lecture vers l'age de 15 ou 16 ans... en fait avant je croyais qu'il n'y avait rien d'intéressant dans la littérature, la faute à la scolarité? peut-être, aucun des livres qu'ils m'ont donné à lire ne m'intéressaient. Après j'ai enchaîné les bouquins fantastique, SF...
Et un jour, vers 20 ans presque, j'ai commencé à écrire, par hasard et je me suis dit que ça donnait bien, j'ai réconté l'histoire de mes profs et de leurs étudiants dans un univers de fantasy délirante... Un peu bete mais ça a été un peu comme un déclic et après c'est parti

Maintenant que je viens de finir un roman je me dis que celui-ci n'est pas mal et que je devrais tenter l'édition, après je ne risque rien à essayer. Et si ça me plait à moi, à mes amis (si ils sont sincères, toujours le même probleme, même s'ils disent tous que c'est fluide) pourquoi pas aux autres?

Mes chances d'être publié? Que dire sinon que 100% des écrivains ont tenté leur chance
Monsieur Pignon, votre prénom c'est François, c'est juste ? Eh bin lui c'est pareil : c'est Juste.


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