Forum Mille Saisons

Thanatos a ouvert le sujet "comment vous écrivez?"

Ben moi je vous demande comment vous lisez?

Car chaque fois je lis mais je ne tiens pas 5minutes la même positions Je lis que sur mon lit

Et vous?

Au lit, le soir

idem, sauf pour les bétas lectures où je suis au bureau, comme j'écris, un stylo rouge à la main et le casque sur les oreilles.

Moi c'est partout Sur mon lit, devant mon ordi, dans l'herbe ou sur un rocher quand mon copain va à la pêche, dans le bus.. ect ect.

Moi aussi c'est partout, des bancs de la fac à mon lit...

vautrée sur mon lit, uniquement.
l'un de mes grands plaisirs dans la vie est de me prélasser dans mon lit le dimanche matin, avec un bouquin et souvent de la musique. si en plus il pleut dehors, c'est divin.

Oui lire quand il pleut c'est le summum de la félicité.

j'adore lire allongé dans l'herbe d'un beau parc, dans mon jardin sur ma balancelle, dans mon lit, dans le bus, avant je lisais dans mon bahut avant les cours ou devant en attendant le transport en commun.

Mais quand je lis vaut mieux pas me parler .

Pour les béta lecture ou manuscrit je lis ça sur ma bonne vieille chaise de bureau car c'est à l'écran

N'importe où, mais le plus chouette, c'est l'été, en terrasse de café.

Pareil que ma louve, je supporte pas qu'on m'interrompt quand je lis.

Le meilleur endroit pour lire, en ce qui me concerne, ça doit être le train, d'une part car c'est relativement confortable - plus qu'un mur le long du lit, par exemple - et d'autre part car ça me force à me concentrer, en m'évitant d'avoir envie toutes les cinq minutes d'aller faire autre chose. Là, dans le train, c'est lecture ou observation des abrutis qui occupent les sièges à côté, autrement dit pas le choix.

Et puis l'autre avantage de la lecture dans le train - mais c'est valable dans n'importe quel lieu public où les gens alentour lisent également - c'est que ça permet de ressentir un sentiment de supériorité, légitime ou non mais bien réel, lorsque vous êtes plongé dans Soljenitsyne tandis que la greluche de base qui vous fait face tente tant bien que mal de décrypter les écritures disséminées autour des photos de son numéro de Closer ou de Biba...

J'aime bien lire dans le train aussi, mais vu mes troubles de concentration, j'avoue que parfois, quand c'est vendredi soir en deuxième classe et bourré de groupes d'étudiants qui rentrent pour le week-end, je prends un Biba plutôt qu'un pavé sur la phonologie ou la linguistique appliquée à la langue anglaise. (Et puis je le laisse coincé dans le filet derrière le siège quand je descends, tant qu'à faire, ça occupera le passager suivant. )

Sinon, aller au parc pour me vautrer sur un banc entre deux cours en semaine, quand il n'y a pas beaucoup de monde.

Je lis de fait très peu au lit, je trouve cela assez inconfortable vu la disposition de ma chambre (je n'ai pas de mur dans mon dos, justement). C'est un peu dommage, si je veux lire le soir, c'est assise à mon bureau... mais on fait avec ce qu'on a.

Je suis malade en train, alors je lis des romans de gare, comme ça je peux rester concentrée sur "pas vomir pas vomir pas vomir", tout en ayant l'impression que le temps passe plus vite.

Sinon, quand aurais-je ouvert "People or not people", "Mariée à tout prix", "Olivia Joules ou l'imagination hyper active", etc. ?

Je lis aussi dans le bain, dans mon lit, sur la terrasse les pieds sur une chaise, dans les toilettes, dans les cafés... En général, j'ai juste besoin d'un bouquin, après, peu importe l'endroit, la posture, etc.

Pareil, partout.
Canapé, lit, rue (en attendant un feu vert pour les piétons, pouf, un paragraphe de plus !), escaliers (quatre étages, des fois c'est déjà trop long), autre fois cours et couloirs d'écoles, pauses diverses, pauses repas (en faisant attention de pas tacher), transports...

Du coup des fois je change de wagon dans le métro ou le RER, parce qu'avoir sous le nez quelqu'un qui chante faux en s'accompagnant d'un haut-parleur crachotant, je n'apprécie déjà pas en temps normal, mais quand j'essaye de lire en anglais une scène un peu dramatique...

Le must étant le bon bouquin à emmener au supermarché d'à côté, quand on n'a que deux trucs à prendre et qu'on sait qu'il y aura une foule monstre tassée devant seulement deux caisses ouvertes. Ça évite de partir à la recherche du responsable des plannings caisse pour le mettre hors d'état de nuire, si possible lentement et douloureusement. Bon, j'exagère ptêt un peu.

Au collège et au lycée, je faisais le trajet à pieds, je le connaissais par coeur, y'avait pas foule sur les trottoirs ; c'est fou le nombre de passants qui me regardaient d'un drôle d'air, alors que lire en marchant c'est vachement facile en fait. Le problème étant les soirs d'hiver, quand il n'y a pas assez de lumière entre deux réverbères. Fatigant.

Oh, et un truc rigolo : un été où je bossais à la Fnac, je lisais un roman en anglais. A une pause où je n'avais pas le temps d'aller chercher le bouquin dans mon sac, j'ai cherché ledit bouquin dans les rayons. N'ai trouvé que la traduction, mais ça m'a pas empêché de continuer }-)

/D., bouquinovore toutes circonstances depuis, houlà, au moins.

Partout aussi. Et plus encore quand je tiens un bon bouquin. Toutes les occasions sont prétextes à me jeter dessus. Alors que je sois chez moi ou pas, dans le lit ou pas, à peu près tous les endroits conviennent (mis à part la voiture, suis malade quand je lis dedans).


En revanche, quand je traîne un peu sur un livre, parce qu'il ne me plait que moyennement, mais que bon, il faut le finir quand même... On va pas le laisser en cours de route... Faut lui laisser une chance, blabla... Je ne lis plus que dans mon lit, quand j'ai du mal à m'endormir le soir. Ce n'est peut-être très glorieux de m'en servir comme somnifère, mais c'est ça ou je ne le finis pas.

Au collège et au lycée, je faisais le trajet à pieds, je le connaissais par coeur, y'avait pas foule sur les trottoirs ; c'est fou le nombre de passants qui me regardaient d'un drôle d'air, alors que lire en marchant c'est vachement facile en fait. Le problème étant les soirs d'hiver, quand il n'y a pas assez de lumière entre deux réverbères. Fatigant.

Je dois faire partie des passants en question. J'ai du mal à comprendre comment tu fais (peut-être tout simplement parce que je n'ai pas essayé). Douée comme je suis, je serais capable de me manger un poteau ou de me prendre les pieds dans le moindre truc qui traîne (et c'est déjà le cas quand je marche "normalement").

Ookdelph a écrit :Au collège et au lycée, je faisais le trajet à pieds, je le connaissais par coeur, y'avait pas foule sur les trottoirs ; c'est fou le nombre de passants qui me regardaient d'un drôle d'air, alors que lire en marchant c'est vachement facile en fait. Le problème étant les soirs d'hiver, quand il n'y a pas assez de lumière entre deux réverbères. Fatigant.

Ehhhh !!! Mais ça m'a rappelé : je faisais ça aussi au collège, le trajet était particulièrement court !

Au lycée, je lisais au beau milieu des cours. Particulièrement en Terminale : les profs toléraient même ça pour certains. Pour d'autres cours, je me cachais un peu plus.

(Oui, mon année de Terminale a été un summum de la fumisterie !)

Mais sinon, partout. Dans le train, si je suis fatiguée, ça peut me donner la nausée, mais normalement je m'arrête avant. Dans les transports, d'une manière générale, c'est plaisant pour les raisons déjà évoquées. Je crois que je lis plus à l'extérieur que chez moi tout de même, finalement. (Ou quand je suis chez des gens et que je m'ennuie beaucoup.)

Le must c'est quand il pleut sur une bonne chaisse de grand mère devant un bon feu

Petit garcon a écrit :comment vous lisez?

Avec les yeux.

J'ai déjà lu dans la rue, même si je ne le fais plus maintenant (ben oui, en vélo, là c'est clairement dangereux ). Mais comme livre ou pas, je suis capable de très bien me prendre un poteau toute seule comme une grande, je me faisais plaisir quand même.

eLiz a écrit :Au lycée, je lisais au beau milieu des cours.

Moi je faisais ça à la fac. En Terminale, on était trop occupés à jouer au tarot sans se faire choper.