Très beaucoup aimé la première nouvelle. Rien à dire. Chuper.
La deuxième itou : j'adore les détournements comme celui-là. J'avoue ne plus savoir si le Livre de la Jungle pourrait se dérouler dans ce contexte historique, mais à la rigueur on s'en fout : c'est bien écrit, et j'ai été surpris (ce qui est rare - et non je ne fais pas mon blasé)
La troisième, j'ai moins accroché. Apparement (j'ai pas tout suivi), c'est un teaser, et ça s'en ressent : il y a trop de choses ou pas assez dans la nouvelle, des pistes pas exploitées qui je le suppose seront dans le roman. Bon. Après, c'est question de goût, tout ça... passons :)
L'article sur les superstitions m'a laissé sur ma faim : j'aurai voulu connaître l'origine des cordes à noeud. Pourquoi, comment ? Ces questions sont motivées par la présence d'une superstition que je connais bien dans l'article : celle de l'interdiction de dire "corde" sur un bateau ou dans un théâtre. Celle-là vient tout simplement du fait que pour exécuter les gens sur un bateau, on utilisait une corde (moyen ré-utilisable, élément primordial dans un milieu clos où les ressources sont limitées). La seule corde à bord était celle des pendus, et portait donc malheur : à chaque fois que la capitaine la demandait, c'est que quelqu'un allait mourir. Le reste n'était que drisse, bout, ficelle, etc...
Ok, mais pourquoi retrouve-t-on la corde au théâtre ? Tout simplement parce que les premiers machinos, qui concevaient les décors et autres machineries, étaient des marins : ils avaient la science des jeux de poulies et autres cordages, et apportèrent leurs superstitions avec leurs techniques.
Tout ça, non pas pour étaler ma confiture - quoique


