Oliv a écrit :Je vais peut-être encore passer pour un vieux con, mais il me semble que de mon temps, on écrivait parce qu'on avait des histoires à raconter, et ensuite on se rendait compte qu'on avait écrit un roman, et donc qu'on était peut-être un peu écrivain, c'est trop cool. Non?

De mon temps aussi...
***prends ses pilules contre l'arthrite***
Cependant, il m'arrive parfois de me demander ce que je pourrais écrire maintenant que je viens de finir un roman et une nouvelle... Parce que écrire, je sais faire, maintenant, et je trouve ça trop cool.
Eh bien figurez-vous qu'en me creusant la tête et même en m'arrachant les cheveux, je ne trouve jamais rien.
En revanche, en lisant d'autres bouquins et en promenant mon nez au vent, les idées viennent toutes seules. Et ensuite, quand j'en tiens une bonne, hop, je tire dessus vigoureusement, et là en général toute la pelotte vient avec, en vrac.
Voir la théorie de l'envie de faire pipi de Chwip (si quelqu'un peut faire un lien, moi je ne sais toujours pas).
Xavpoix a écrit :Je ne pense pas que la richesse de l'idée de départ soit une nécessité. Si tu as trouvé quelque chose qui te plait et qui te donne envie d'écrire, c'est déjà un bon début.
La richesse vient après, au fur et à mesure que tu écris ton histoire.
Ouaip, bien d'accord. Au fur et à mesure que tu écris, ou au fur et à mesure que tu réfléchis à ton plan.